Chaque thérapeute, chaque psy, par son expérience personnelle de vie, son parcours professionnel, ses formations et ses centres d’intérêts est porteur de thèmes privilégiés de souffrances sur lesquels il peut guider ses patients. Voici quelques uns de ces thèmes qui me tiennent particulièrement à coeur. Et pour lesquels je peux par conséquent vous accompagner pour vos besoins de psy à Vannes (Morbihan, Bretagne).
Exprimer ses émotions refoulées, tout un art !
Qui n’a jamais ressenti cette boule qui brûle dans la gorge, le ventre qui se noue, ou encore le souffle qui se coupe en état de choc ? Nos émotions sont nos guides les plus précieux pour nous aider à nous orienter dans la vie. Mais elles peuvent aussi devenir de vrais tyrans. Notamment quand elles nous rongent de l’intérieur sans trouver leur chemin d’expression autrement que dans la maladie (mal à dire). Elles sont tyranniques aussi quand elles nous submergent sans crier garde. Notre société nous exhorte de savoir « gérer nos émotions« . Sous entendu d’apprendre à les taire et à s’en couper, alors même qu’elles sont allègrement (sur-)utilisées quand il s’agit de nous séduire dans notre société de consommation. Cela peut devenir une souffrance psy profonde de se sentir piégé ainsi à l’intérieur de soi et dans le monde extérieur.
Petit à petit je vous propose d’apaiser votre lien à vos émotions. Je vous guide en douceur pour libérer ce qui cherche à se dire depuis parfois bien longtemps. Colère refoulée, peur paralysante, tristesse interdite, joie inaccessible, dégoût inavouable, toutes les couleurs de vos émotions seront ici accueillies et entendues. Si les mots manquent, nous utiliserons les ressorts de la créativité pour vous aider à trouver votre chemin d’expression singulier.
Accepter sa différence, découvrir son mode d’emploi.
A l’école de la vie, nous apprenons petit à petit la leçon de la différenciation, que l’autre est différent de moi. Mais pour certains, cet apprentissage se fait parfois au prix d’un sentiment d’être en décalage insupportable à vivre. Ressentis terribles que de se sentir incompris, rejetés. Ou encore difficulté soi-même à comprendre l’autre qui ne comprend pas ce qui semble si évident. Dès l’école mais aussi dans le milieu professionnel, les profils à intelligences multiples sont trop souvent en souffrance. Leur besoin d’évoluer rapidement sont pris comme de l’instabilité ou de la dispersion. Voire de l’ambition arrogante. S’ignorant souvent eux-mêmes comme multipotentiels (aussi appelés précoces, HPI – Haut Potentiels Intellectuels, ou encore « zèbres »), leur souffrance se vit de l’intérieur. Et l’énergie créatrice de leurs talents refoulés se retourne contre eux et les isole petit à petit de leur entourage.
Par mon accompagnement, je vous amène à prendre conscience par vous-même de vos infinies capacités. Tout en vous guidant à comprendre votre mode de fonctionnement singulier. En vous connaissant vous-même vous serez plus à même de pouvoir expliquer aux autres votre façon d’être et vos besoins pour déployer l’éventail de vos talents multiples, loin de toute case prédéfinie !
« A force de vouloir rentrer dans le moule, on finit par ressembler à une tarte. »citation attribuée à Bernard Werber
Plonger dans les profondeurs de la dépression pour faire émerger son « Oui à la vie »
Société championne de consommation d’anti-dépresseurs, la France a peur de la dépression. Le soutien des médicaments peut être bien-sûr justifié et vital pour contenir une mélancolie qui plombe la vie et retrouver un mieux-être acceptable pour vivre sa vie au quotidien. Les français ne sont pour autant pas plus déprimés que les autres humains. La dépression et ses torrents de larmes peut souvent être un passage tout aussi nécessaire et fertile que l’association de la pluie et du soleil. En effet, la dépression est souvent un passage. Avant tout il permet de se défaire de ce qui ne convient plus et auquel on s’accroche encore par sécurité ou par peur de l’inconnu. Faire face à la perte, au manque, au vide, à la souffrance, permet de toucher nos besoins essentiels qui se cachent derrière, porteurs de nos élans de vie. Pleurer seul isole et effondre encore plus. Face à l’autre, son psy, pleurer humanise et soulage en profondeur.
Je vous aide ainsi à réparer les ressorts de votre résilience pour refaire surface par paliers. Vous reprenez confiance dans votre puissance à vivre au rythme des cycles de la vie, enrichi de la leçon qui se cachait dans le trésor de votre part d’ombre.
En quête de sens : trouver sa raison d’être, le but de sa vie.
A l’instar du film documentaire emblématique des aspirations de la jeune génération, la quête de sens est un témoin de notre société. Ce questionnement existentiel peut mener à une perte de repères et à un profond désarroi angoissant et paralysant. Nous vivons une ère qui évolue si vite et si radicalement qu’il y a de quoi avoir le vertige. Explosion de la population mondiale, abolition des frontières par les transports et moyens de communication… Ou encore notre mode de consommation qui ne tient plus compte des ressources limitées… Jusqu’à la médecine qui repousse les limites de la vie toujours plus loin ! Nos organismes et nos besoins psychiques sont mis à mal par cette mutation de notre espèce. Quelle place avoir dans une population à plus de 7 milliards d’habitants ? Quel rôle puis-je avoir, noyé dans la masse ? Comment m’adapter à ce monde qui bouge si vite ? Comment être en lien à l’heure du virtuel omniprésent ?
Familière de ces évolutions psy de société par mon parcours professionnel, je vous aide à vous reconnecter à vos rêves d’enfant ; à sentir vos talents spécifiques pour vous amener à trouver votre place dans le monde.
« L’homme ne peut supporter une vie dénuée de sens. »
Carl Gustav Jung
Burn-out : le cri d’appel du corps pour rebâtir sa vie.
Il n’est pas spécifique au milieu du travail ; le burn-out peut aussi être lié à notre engagement associatif ou familial. Dans tous les cas, la mécanique est la même : les responsabilités accumulées, l’épuisement des ressources, la désillusion, l’isolement, et le corps qui force à l’arrêt brutal. Si les signes avant coureurs étaient bien présents, c’est l’effet de surprise qui l’emporte quand tout s’écroule à l’intérieur de soi. Le cerveau ne répond plus, il surchauffe et disjoncte au moindre essai de concentration et de réalisation. Le corps utilise toute sa créativité pour faire entendre ses limites et son besoin de repos. Il est déstabilisant pour soi et pour son entourage de se voir ainsi être devenu l’ombre de soi-même, en totale impuissance. Et pourtant… un burn-out est souvent un cadeau inestimé de la vie !
En prenant le temps de reposer à plat toute ce qui s’est construit de travers dans l’échafaudage de votre vie, je vous amène à redéfinir les fondations de votre vie. En vivant pleinement ce sas de reconstruction, vous rebâtissez la vie qui vous correspond.
A l’épreuve du deuil : pas à pas, un chemin de renaissance.
Vie-Mort-Vie est le cycle immuable dans lequel nous nous inscrivons comme tout organisme vivant. Les feuilles mortes qui tombent se décomposent lentement pour redonner leurs éléments essentiels au jaillissement de la vie au printemps suivant. « Faire son deuil »est devenue une injonction taboue dans nos sociétés occidentales. Le temps du deuil n’est plus respecté, les rituels et actes symboliques se font rares. Là où les sociétés dites traditionnelles y accordent une importance « vitale ». Traverser les étapes du deuil s’accompagne, se vit dans l’humanité. Le rôle du psy est notamment de vous confronter au déni et aux négociations naturelles avec la réalité qui suivent l’état de choc. De même, il est là pour entendre votre colère. Cette révolte liée à votre perte réelle ou symbolique : d’un être cher, d’une relation, d’une situation, d’une capacité perdue, d’un rôle social. Et bien-sûr, il faut du temps pour pleurer votre tristesse, et vivre le temps des larmes qui nettoient. Alors seulement pourra émerger la fertile acceptation, sans résignation.
En accueillant vos deuils non faits, je vous réconcilie avec la Vie.
« C’est le cycle même de la vie : lorsque quelqu’un ou quelque chose meurt, quelqu’un ou quelque chose naît ailleurs. »extrait de OSS 117 : Le Caire, nid d’espions (2006), écrit par Jean-François Halin et Michel Hazanavicius
La transformation de la grossesse et de la maternité : accueillir bébé et les chamboulements internes
Porter la vie engendre de nombreux bouleversements. Entre le corps qui change, les questionnements, les appréhensions, les changements relationnels dans le couple, et même dans la famille ou l’entourage, c’est toute une mutation qui peut venir déstabiliser. Particulièrement sensible, la femme enceinte peut être fragilisée par tous ces bouleversements qui la dépassent. Par sa théorisation des différentes phases de la naissance, de la conception à l’arrivée de l’enfant, l’Analyse Psycho-Organique offre un accompagnement spécifique. De façon à rassurer et soulager les femmes enceintes. Mais aussi les mamans et leur.s bébé.s, notamment en cas de baby blues. Tout parent en devenir ou jeune parent peut être chahuté par l’arrivée de l’enfant.
J’ai une sensibilité particulière pour ce thème psy des premiers instants de la vie, fondateurs de notre existence. Je suis attentive également pour les parents à entendre comment les bébés qu’ils ont été jadis peuvent s’exprimer malgré eux dans cette rencontre avec leur enfant.
Quand l’enfant désiré ne vient pas… : donner vie au projet d’enfant et traverser les difficultés à la procréation
Accueillir des verdicts d’infertilité. Faire face aux espoirs et déceptions du parcours du combattant de la Procréation Médicalement Assistée (PMA). Vivre les bouleversements corporels des traitements hormonaux. Faire le deuil de la grossesse et de l’enfant naturel. Surmonter les douleurs des fausses couches, d’un deuil périnatal, des traumatismes d’un IVG. S’ouvrir et se préparer à la patience du chemin de l’adoption. Qu’est-ce qui se joue en soi ? Comment vivre ce parcours dans le couple et dans son entourage ? Qu’est-ce qui est véritablement en jeu dans ce projet d’enfant ? Quand la vie ne vient pas, les couples vivent des épreuves intimes qui les confrontent à des questions existentielles profondes.
Je vous accueille dans tous ces questionnements psy, avec l’humilité face au mystère de la vie. Nous explorerons ce qui peut faire obstacle en vous ou ce qui peut se réveiller de votre lignée dans tout ce parcours. Créer la vie peut alors prendre de multiples facettes.
« La vie est une fleur. L’amour en est le miel. »
Victor Hugo
Faire la paix avec son histoire : ses traumatismes et ceux de ses aïeux, pour créer Son histoire.
Psychogénéalogie : Je vous aide à connaître vos racines pour vous ancrer dans votre vie. En somme je vous aide à vous libérer du sentiment d’en être prisonnier. Tout en triant dans votre histoire, vous créez Votre histoire. Libéré des dépendances aux traumatismes transmis en héritage ou aux schémas automatiques de répétitions. Selon les besoins spécifiques de votre thérapie, je peux vous proposer un travail psy autour de votre arbre généalogique. Je peux également vous guider dans votre travail d’enquête généalogique.
Traumatismes : Quand un événement dramatique survient dans notre vie, un mécanisme de défense se met en général en place. Ce qui fait traumatisme, c’est la trace laissée en soi, dans la psyché et souvent dans le corps, de ce choc qui n’a pas pu être intégré, digéré. Tout en patience, et en m’appuyant sur l’intelligence de votre corps qui ne cherche qu’à dissoudre ces traces, je vous aide à vous libérer et à prendre soin de votre cicatrice.
Tomber le masque : oser être soi-même.
Dépendances, addictions, sur-adaptation… pour être aimé.e et accepté.e, les stratégies de l’inconscient sont nombreuses. Parfois au prix de sa personnalité sacrifiée. Être soi tout en étant avec l’autre, trouver la liberté et l’équilibre dans la co-existence, est un des plus grands défis de la vie humaine. Pour prendre un autre exemple, s’aimer soi-même est aussi un moyen de sortir du triangle dramatique relationnel des positions de victime / bourreau / sauveur. Et aussi, oser se montrer vulnérable permet d’assumer son humanité. Et prendre le risque d’être en lien véritable et authentique à l’autre.
L’espace de thérapie psy que je vous propose est avant tout là pour ça. Vous offrir un lieu d’expérimentation, de Jeu du Je, dans la sécurité d’un espace protégé et bienveillant.
« Focalisez-vous sur ce que vous pouvez changer, pas sur ce que vous ne pouvez pas. »
Tom Clancy
Mieux vivre sa parentalité : devenir parent, un grand chamboule-tout !
Lorsqu’un bébé naît, c’est aussi la naissance d’un père (ou d’un co-parent) et d’une mère. Se découvrir parent c’est automatiquement et inévitablement revisiter sa propre arrivée au monde. Peur de reproduire des comportements dont on a souffert ; Réajuster les places, le couple, en passant de 2 à 3, de 3 à 4… Loin de l’image idéale : la parentalité amène aussi son lot de conflits, de déceptions, regrets, inquiétudes, impuissances… Les débuts de la parentalité sont très confrontants. Il faut aussi parfois dépasser des traumatismes d’accouchements. S’offrir un espace pour mieux saisir ce qui est en jeu pour soi est un formidable à se faire et à son enfant.
Surmonter les tourments de l’adolescence
L’adolescence est par définition un passage de métamorphose profonde, avec son lot de remises en questions. L’enjeu : faire le deuil de l’enfance, et sauter dans le grand vide de quel adulte devenir. Comment s’émanciper, se différencier peu à peu de sa famille d’origine ? Et comment bien vivre la transformation de son corps, de l’intérieur, et dans le regard des autres ? Ou quel accueil des émotions qui viennent submerger, effondrer même parfois ? Et encore faire face aux problèmes relationnels, avec sa famille, ses amis, les camarades de classe, l’univers scolaire et ses pressions ? Selon l’âge*, le besoin, le contexte, l’adolescent.e est reçu.e seul.e en priorité dans cet espace intime de la psychothérapie. Et avec son accord, le cabinet peut parfois être le lieu de faciliter une expression avec les parents. (*l’autorisation écrite des 2 parents est obligatoire jusqu’à 16 ans, avec une première rencontre avec le ou les parents)
Psychothérapie de l’enfant – et de ses parents
Dès 4 ans, la psychothérapie peut accompagner votre enfant dans ses difficultés. Que ce soit pour l’aider à dépasser un événement traumatique pour lui/elle ; ou pour l’accompagner dans la compréhension de ses émotions, de ses réactions et autres enjeux relationnels : l’espace de psychothérapie peut apporter un espace où l’enfant pourra se dire, se connaître. Ainsi il pourra reprendre son cours de développement, avec la beauté et la force de l’énergie de vie de l’enfance !
NB : Avant tout, quelque soit son âge, il est important que l’enfant soit volontaire à ce travail. La thérapie de l’enfant jusqu’à 16 ans nécessite l’accord écrit des 2 parents. Même (et surtout) en cas de parents séparés. Des entretiens parentaux avec l’un ou les parents pourront ponctuer le travail thérapeutique.